Le deuxième quinquennat d’Emmanuel Macron poursuit la série de baisses entamée lors du premier, alors que la suppression de l’ISF, par exemple, n’a eu aucun effet sur le financement des entreprises. Il est toujours plus facile de promettre de réduire la « pression fiscale » que de demander ouvertement « qui doit contribuer davantage ? ».