Cédric Philibert montre que le bilan CO2 des véhicules électriques, lié au déploiement des énergies renouvelables, est bien meilleur qu’annoncé, qu’on n’est pas près d’épuiser les métaux entrant dans la fabrication des batteries et que l’industrie européenne, au milieu du gué, perdra tout si elle recule devant le passage à l’électricité, inéluctable.