La Commissaire européenne au Commerce, Cecilia Malmström, est formelle et ne manque aucune occasion de le répéter depuis près d’un an : les PME sont au cœur de ses préoccupations et elles pourraient être les premières bénéficiaires des accords commerciaux en négociation et en particulier du futur traité transatlantique de commerce et d’investissement. Cette opération séduction se heurte pourtant aux faits. Au moins cinq raisons d’en douter :