Présentation
Selon le dernier volet du 6e rapport du GIEC, les trois années à venir seront cruciales pour avoir une chance de limiter le réchauffement climatique à moins de 1,5°C d’ici 2050. Mais la crise écologique est bien plus large et les scientifiques viennent d’annoncer qu’une sixième limite planétaire a été franchie. Alors que le sujet a à peine été abordé dans le cadre de la présidentielle, comment mettre le quinquennat qui s’ouvre au service de la transition écologique et sociale ?
Le 7 juin 2022, l’Institut Veblen organise en partenariat avec l’association étudiante Pour un réveil écologique, à Paris, un « Grand oral de l’écologie » auquel sont conviés des candidats issus des principaux partis républicains dans le cadre des élections législatives.
Cet évènement est organisé à l’occasion de la publication de l’ouvrage collectif 2030 c’est demain ! (Les Petits Matins et Institut Veblen, 2022) coédité par l’Institut Veblen et les Petits Matins qui dresse un ensemble de propositions de réformes.
Nous vous invitons dès à présent à sélectionner les 2 propositions phares sur lesquelles les candidats devraient réagir et à nous proposer des questions complémentaires à leur poser.
Candidat-e-s
- Vincent Baladi, candidat pour Les Républicains dans la 1ère circonscription de Paris
- Marjolaine Meynier-Millefert, candidate pour Ensemble dans la 10e circonscription d’Isère
- Mathilde Panot, candidate pour la Nouvelle union populaire - France insoumise dans la 10e circonscription du Val-de-Marne
- Dominique Potier, candidat pour le Parti socialiste dans la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle
- Sandrine Rousseau, candidate pour la Nouvelle union populaire - Europe écologie les Verts dans la 9e circonscription de Paris
Programme
- Introduction et commentaire des résultats du sondage, par Dominique Méda, présidente de l’Institut Veblen et professeure de sociologie à l’Université Paris Dauphine
- Trois questions aux candidats et candidates tirées du sondage "Grand oral de l’écologie : interpellez vos candidat-e-s !" posées par Salomé Saqué et Paloma Moritz, journalistes chez Blast
- Une question posée par un étudiant de l’association Pour un Réveil écologique
- Conclusion par Dominique Méda