Le gouvernement a présenté mercredi dernier son programme de stabilité qui indique la marche à suivre pour limiter le déficit public malgré les dépenses de relance. L’institut d’études économiques Rexecode y note l’absence d’une dimension importante : la multiplication des rejets carbone.
Le gouvernement avait pourtant bien commencé. En septembre, il incluait dansson plan de relance une « évaluation environnementale » du budget. Mais, lors de laprésentation du programme de stabilitédétaillant sa trajectoire de redressement des comptes publics, le 14 avril, aucune trace de la comptabilité des émissions de CO2 qui seront engendrées par la croissance.
Le ministère russe de l’Economie a revu mardi à la hausse sa prévision de croissance du produit intérieur brut pour 2024, de 2,3% à 2,8%, tout en envisageant un affaiblissement du rouble et une diminution de l’excédent des comptes courants dans les années à venir
Rémy Rioux : « Je me demande même si ce n’est pas comme un nouveau Moyen Âge. L’ordre qui prévalait depuis la Seconde Guerre mondiale est contesté... Et pourtant, les organisations internationales sont toujours debout »
« En autorisant les entreprises à utiliser des crédits carbone pour valider leur décarbonation, l'organisme certificateur de référence semble dorénavant leur permettre de compenser leurs émissions au lieu de les réduire »
La réponse dépend du jumelage, ou non, des activités américaines et internationales de la plateforme et de l’inclusion, ou non, de son algorithme si convoité dans la transaction